Mercure

Prudente envoyée de mercure,

La guerre, ton domaine sanglant,

Fumée curieusement des plus pures,

Sur ton front vif argent.

Balafre sur ton visage de marbre

D’une humanité tant voulue,

Du haut des branches au fruit divin de l’Arbre,

Des Hommes à jamais déçue.

Alors la retraite et la chute

Des hauteurs embrumées jusqu’au ciel.

Ne serait ce finalement ton but,

Afin de rejeter leur fiel.

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