Nid queue ni tête ma rose

Ton parfum subtil

Évoque un champ rosé

Et ta silhouette gracile

Un silence oublié

J’aime le bruit

Moins la fureur

Confortable dans mon nid

Éloigné de toute peur

J’en reviens à ton parfum

Il m’évoque une rose,

Fragile mais sans fin

Que prendre je n’ose

Je t’ai cueilli un matin,

Et a mon grand désarroi

Même dans un vase le lendemain

Tu étais fanée, tes pétales tout en bas.

Peut être un royaume

Ou les fleurs restent belles

Peut-être cesserai-je d’être un homme

pour rejoindre ma fidèle.

Un silence pour finir,

Je m’éteins, je meurs

De dieux je ne m’attire par l’ire

Et je te rejoins sans douleur.

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