C’est un début de rien
Les pieds dans le ruisseau
Quand tu me prends la main
Je te tourne le dos.
C’est si dur le silence
Quand point l’aube de glace
Une si cruelle absence
Que plus, tu ne m’enlace.
Seule, je suis à jamais
Le ciel nous oubliera
Oui, seule, je resterai
Le vent s’en souviendra.