Un début…

C’est un début de rien

Les pieds dans le ruisseau

Quand tu me prends la main

Je te tourne le dos.

C’est si dur le silence

Quand point l’aube de glace

Une si cruelle absence

Que plus, tu ne m’enlace.

Seule, je suis à jamais

Le ciel nous oubliera

Oui, seule, je resterai

Le vent s’en souviendra.

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